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vendredi 24 juin 2016

Jean Mesqui prend les rênes de l’ASFA

Ce mercredi 22 juin, le conseil d’administration de l’Association des sociétés françaises d’autoroutes (ASFA) a élu – à l’unanimité – Jean Mesqui comme président. L’ancien délégué général remplace ainsi Pierre Coppey, qui assurait la présidence de l’ASFA depuis quatre ans.

Faire de l’Association des sociétés françaises d’autoroutes (ASFA) un « think tank opérationnel ». Tel est l’objectif que s’est assigné Jean Mesqui, son nouveau président. Elu ce mercredi 22 juin, à l’unanimité, lors de l’assemblée générale de l’association, Jean Mesqui souhaite ainsi inscrire son action dans la continuité de la présidence de son prédécesseur, Pierre Coppey. « Nous poursuivrons le développement de notre plan stratégique interne, initié en 2012, sous la précédente mandature. Via une nouvelle gouvernance et l’élaboration d’études prospectives, l’ASFA doit devenir une sorte de « think tank » capable de concevoir et de proposer des solutions opérationnelles », fait savoir Jean Mesqui.

Comment les Français imaginent-ils l'autoroute de 2050 ?



Dans une étude récente publiée par l'association fédérant la profession (Asfa), il apparaît que les Français nourrissent de véritables attentes à l'égard des infrastructures autoroutières. Ils souhaitent notamment un nouvel élan de modernité.

L'autoroute française de demain devra être entièrement connectée. C'est une des attentes prioritaires des automobilistes, à en croire les résultats de l'étude menée par l'institut Harris pour le compte de l'Asfa*. Pour 83% des 1007 sondés, les réseaux autoroutiers seront probablement plus digitalisés et communicants.

L'étude Asfa/Harris avait pour but de dessiner les contours de l'autoroute de 2050. Dans l'esprit de 35% des Français, l'industrie autoroutière fait preuve d'un manque d'innovation. En revanche, 73% des sondés croient que les choses changeront dans le bon sens d'ici à 2050. Comme un paradoxe, si 76% des Français jugent les autoroutes adaptées aux usagers, seulement 70% entrevoient une amélioration au cours des prochaines décennies. 

Des voies prioritaires

Le chauffeur espagnol " grugeait " au péage



Le conducteur de poids lourd prenait deux tickets au lieu d’un seul et réalisait des trajets fictifs pour alléger sa facture d’autoroute.

Valence en Espagne - Rungis en région parisienne. Près de 1.300 kilomètres à avaler pour ce chauffeur routier espagnol. Avec à la clé une jolie facture de carburant et de péage lorsqu'il emprunte l'autoroute. Des frais sans doute trop élevés qui ont poussé le routier à « gruger » Cofiroute, entre le Loir-et-Cher et le Loiret. 

Pendant un an, entre janvier 2014 et février 2015, le chauffeur emprunte ainsi à 31 reprises l'A 71 via le péage de Lamotte-Beuvron. Il remonte jusqu'à Artenay, quitte l'autoroute et rejoint la route nationale jusqu'à Rungis. Il s'acquitte alors pleinement et honnêtement de ses frais d'autoroute. C'est au retour que l'Espagnol est plus regardant sur la facture. Après être passé à Orléans récupérer sa marchandise, il y reprend l'autoroute jusqu'à Salbris. Et plutôt que de valider son ticket orléanais, il ressort le second ticket qu'il a pris soin de récupérer au péage de Lamotte, à l'aller, par une manœuvre de recul de son camion à la barrière de péage ! Par cette technique, le montant affiché s'allège de manière conséquente : 3,80 € pour 18 km fictifs entre Lamotte et Salbris. En réalité, le trajet effectué sur la portion Orléans Salbris compte une soixantaine de kilomètres pour une quinzaine d'euros.

Des logiciels de détection d'anomalies

samedi 18 juin 2016

VINCI : triste bilan accidentogène

Autoroute A9, juin 2016.
Déjà 16 véhicules de sécurité heurtés sur le réseau VINCI Autoroutes depuis le début de l'année...


sources : www.facebook.com/VINCIAutoroutes

STRASBOURG - Contournement autoroutier De l’argent public pour Vinci ?



Le conseil d’administration de la Banque européenne d’investissement (BEI) a validé en octobre 2015 l’idée d’un financement du contournement autoroutier de Strasbourg à hauteur de 280 millions d’euros via le fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS).

La BEI est la banque de l’Union européenne. Le dossier strasbourgeois est ainsi retenu dans le cadre du plan Juncker, ou plan d’investissement pour l’Europe qui consiste en un financement de grands projets d’infrastructures dans un esprit keynésien de soutien à l’investissement et donc à l’emploi. Le plan est lui-même financé par les États et l’Union européenne.