Unsa – Autoroutes

49 avenue Gambetta, 60600 Clermont

Tél : 06 07 80 17 17 / E-Mail : unsa-autoroutes@orange.fr

lundi 30 novembre 2015

Contresens mortel : l'expertise qui accuse Vinci

Après un accident mortel sur l'A7 dû à une voiture engagée à contresens, une expertise conclut au manque d'installations de sécurité sur les voies

à lire sur le site du SGPA Unsa Cofiroute : lien
 
 

mardi 24 novembre 2015

Escota : Vinci Autoroutes réinvente le Front de l'Est...

Escota relègue en Russie son directeur d'exploitation de Cannes


Escota (Vinci Autoroutes) vient de transférer Christophe Martin, directeur régional d'exploitation à Cannes, vers des chantiers russes du groupe Vinci. Certains y voient un lien avec son absence pendant les graves inondations qui ont frappé le réseau autoroutier du Sud-Est de la France, le premier week-end d’octobre.
sources : lalettredelexpansion.com 

jeudi 19 novembre 2015

Vinci Autoroutes fait dans l'aumône

vu chez Pôle Emploi :
Patrouilleur Autoroutier : CDD 24 mois, Poste P1 et P2, permis poids lourds exigé, astreintes

le tout pour 1345,6 euros par mois sur 12 mois (primes comprises?)

faut il dire aussi merci patron ?

à lire sur le facebook du SGPA Unsa : lien

annonce Pôle Emploi : lien
 

lundi 16 novembre 2015

Angers Explosions sur l'A11 : le poids lourd a été pulvérisé


Les images, prises par le correspondant du Courrier de l'Ouest, sont impressionnantes : il ne reste plus rien du camion transportant des bouteilles de gaz, qui a pris feu sur l'autoroute A11 lundi après-midi.

Le poids lourd, circulant dans le sens Angers - Le Mans, a pris feu pour une raison encore indéterminée, à hauteur de la commune de La Chapelle-Saint-Laud, au niveau de la ferme La Farinière.

La circulation a été coupée dans les deux sens de circulation. Les explosions étaient entendues jusqu’à Durtal.

Un périmètre de sécurité a été mis rapidement en place.

De nombreuses explosions sont entendues par les riverains de l’autoroute. Un internaute a filmé la scène.


Communiqué intersyndical CGT- CFDT - CFE CGC – CFTC – UNSA – Solidaires – FSU

14 novembre 2015 - Après les attentats effroyables commis cette nuit à Paris, les organisations signataires CGT - CFDT - CFE CGC – CFTC – UNSA – Solidaires – FSU assurent de leur solidarité toutes les personnes et leurs proches qui en ont été victimes.
En frappant indifféremment la population, en ciblant des lieux de culture, de sport ou tout simplement de loisirs et de rencontres amicales, fréquentés par beaucoup de jeunes, les terroristes envoient un message clair : c’est bien toute la société qui est aujourd’hui visée.
C’est pourquoi le mouvement syndical, tout comme il s’était rassemblé après les attentats de janvier dernier, exprime ensemble son émotion mais assure aussi que rien ne saurait remettre en cause sa détermination à lutter contre toute les atteintes à la démocratie, à la paix et aux libertés.
Comme elles l’avaient fait au début de l’année 2015 en décidant de travailler sur toutes les incidences pour le monde du travail, matérialisé par le texte « Vivre ensemble, Travailler ensemble », les organisations syndicales se retrouveront très prochainement pour poursuivre leurs échanges sur la situation créée par ces attentats et poursuivre leur engagement pour lutter contre les replis, les stigmatisations, les divisions, contre toutes tentatives de terreur dans lesquelles veulent nous enfermer les terroristes, afin de continuer à faire société ensemble.


mercredi 11 novembre 2015

Conduite mortelle à contresens : Vinci assignée devant la justice



Une conductrice ivre avait roulé en 2011 à contresens sur l'A7 tuant trois passagers d'un autre véhicule. Pour l'avocat des victimes, Vinci, responsable de ce réseau, a failli à son devoir de sécurité.

La société d'autoroute Vinci a-t-elle une part de responsabilité dans l'accident effroyable survenu sur l'autoroute A7 le 24 Juillet 2011 où une conductrice ivre avait roulé à contresens et provoqué la mort de trois personnes? L'avocat des victimes, Me Jean-Pierre Darmon, en est convaincu et va assigner le concessionnaire devant la justice.

Pour lui, Vinci a failli à son devoir de sécurité sur le réseau dont il a la charge. La société devrait, selon lui, assurer une surveillance permanente de ses axes par l'intermédiaire de ses caméras mises en place. Or la plupart du temps inopérantes, selon lui, celles-ci ne sont utilisées que pour localiser des lieux d'accident. Par ailleurs Vinci devrait, estime l'avocat, mettre en place un système de barrières pour interdire toute sortie de véhicules des aires de repos en cas de conduite à contresens repérée. Avec ce dispositif, le drame aurait été évité.

Les caméras ne fonctionnent pas
Or, ce 24 juillet 2011, à l'heure d'un important chassé-croisé, les routes sont déjà chargées ce dimanche matin. C'est alors qu'une conductrice qui sortait de discothèque prend le volant avec 2,30 g d'alcool par litre de sang. Elle prend la direction de Marseille mais décide de faire demi-tour et roule alors en contresens. Durant plus de sept kilomètres, elle poursuit sa progression sous les regards affolés des autres conducteurs qui appellent le SDIS (service départemental d'incendie et de secours). «C'est affolant, on a les bandes sonores et on se rend compte à quel point du temps est perdu. Les usagers tombent sur une bande musicale et sont renvoyés à un autre service», relate l'avocat. Du coup et alors qu‘il faut agir vite, rien ne permet d'arrêter le danger. Pas même le dispositif de caméras. «Il y a au moins deux caméras sur le trajet utilisé par la conductrice ivre mais elles ne fonctionnent pas», poursuit Me Darmon.

C'est alors que la famille Bonan quitte l'aire de repos Lançon-de-Provence. C'est le choc. Dans l'accident, la conductrice responsable meurt. Dans l'autre véhicule c'est l'hécatombe. Les deux parents décèdent ainsi que leur fils. Une amie, passagère est aujourd'hui lourdement handicapée. Seule rescapée: une petite fille de quatre ans, aujourd'hui orpheline.

Pour Me Darmon, Vinci doit être mis face à ses responsabilités. «L'usager paie pour utiliser ce réseau qui est dit-on sécurisé. Ce n'est absolument pas le cas aujourd'hui», dit-il. Interrogée par Le Figaro, Vinci n'a pas souhaité s'exprimer.

sources : leFigaro

lundi 26 octobre 2015

Décès du PDG d'Eiffage, Pierre Berger

Pierre Berger, patron d'Eiffage décédé à 47 ans d'une crise cardiaque dans la nuit de jeudi à vendredi, était un ingénieur surdoué, au profil atypique, qui a rapidement gravi les échelons dans un secteur du bâtiment qu'il connaissait de près. Pierre Berger avait été nommé PDG d'Eiffage, numéro trois du BTP en France, en août 2012, un an et demi après son arrivée dans le groupe en tant que directeur général délégué, et après un bref passage à la direction générale.
Polytechnicien et ingénieur des Ponts et Chaussées, M. Berger a suivi un parcours inhabituel dans le monde très codifié du BTP, en refusant de devenir fonctionnaire au terme de ses études, préférant créer sa propre entreprise, Sigmatec Ingénierie. Ce père de trois enfants, diplômé du baccalauréat à 15 ans, fait prospérer son cabinet d'études qui est absorbé par une PME, Ménard Soltraitement. Il contribue à la vendre à Freyssinet, une filiale de Vinci spécialisée dans les grands travaux à l'étranger.

lire la suite : ici

Cofiroute: la Direction déboutée

C.H.S.C.T région pays de Loire 1 - Cofiroute 0.

à lire sur le site du SGPA Unsa : lien


 

jeudi 22 octobre 2015

Budget/autoroutes: l'Assemblée vote la fusion de deux contrats de concession de la société APRR

L'Assemblée nationale a voté lundi soir, dans le premier volet du projet de budget 2016, la fusion de deux contrats de concession entre l'Etat et la société Autoroutes-Paris-Rhin-Rhône, dont un pour un tunnel reliant Alsace et Lorraine, assortie d'une durée allongée.

Jusqu'alors, l'Etat et la société APRR avaient conclu un contrat principal de concession d'autoroutes portant sur un réseau situé dans l'est de la France et un contrat de concession pour le tunnel de Sainte-Marie-aux-Mines, qui permet de relier l'Alsace et la Lorraine par le massif vosgien en évitant les cols de Sainte-Marie-aux-Mines, du Bonhomme, du Bussang ou de Saales.

Fermé à la circulation pour des travaux de mise en sécurité à la suite de l'incendie du tunnel du Mont-Blanc en 1999, ce tunnel n'a pas retrouvé la fréquentation antérieure depuis sa réouverture en 2008, en raison du "niveau élevé des péages", qui ont poussé les poids lourds notamment à emprunter d'autres trajectoires, selon le gouvernement.

mercredi 21 octobre 2015

Cofiroute: agression d'un agent routier

Agression d’un Agent routier à Cofiroute !

Cette nuit vers 3 heures un Agent routier du centre de Monnaie (Anthony) s’est fait agressé et frappé par 2 hommes sur  l’aire de repos de Chantemerle sur A28 alors qu’il était en ronde sécurité.
En état de choc, arcade ouverte avec de multiple contusions , il a été transporté à l’hôpital pour examen où un arrêt de travail de 10 jours a été prescrit.
Nous lui souhaitons un prompt rétablissement mais  cette affaire rappelle à nos dirigeants une des nombreuses facettes dangereuses de ce métier lorsque l’on est un travailleur isolé.

à lire sur le site SGPA Unsa : lien

 

Elections Professionnelles AREA

Fat Unsa Autroutes AREA reste le 1er syndicat dans le collège exécution, le deuxième au niveau de l'entreprise tous collèges confondus.
Ce résultat est le fruit du travail et de la présence active des élus et représentants Fat Unsa Autoroutes au sein de cette société.

les syndicats SUD et FO disparaissent du paysage syndical.

les résultats ci dessous

 

jeudi 17 septembre 2015

Le concessionnaire autoroutier ASF condamné pour entrave au droit de grève


La Direction Régionale d’Exploitation Centre-Auvergne d’ASF a été condamnée jeudi par le juge des référés du tribunal de grande instance de Brive.


Dans son ordonnance rendue jeudi, le juge des référés a, de manière argumentée, condamné ASF a versé à chacun des syndicats Unsa, CGT et FO, 1.500 € de provision sur indemnisation de leur préjudice.


Ce préjudice avait pris sa source au cœur de l’été, du 30 juillet au 3 août, période durant laquelle le personnel des péages était en grève. Le comité d’entreprise, soutenu par les syndicats, avait à l’époque saisi le juge des référés reprochant à la direction d’ASF d’avoir embauché des saisonniers, non prévus au planning, dès le lendemain du préavis de grève déposé le 15 juillet. Le 30 juillet, l’affaire est renvoyée au 27 août au grand dam du comité d’entreprise et des syndicats.


Aujourd’hui, Me Christine Marche, avocate du comité d’entreprise, se réjouit : « le tribunal a reconnu l’entrave au droit de grève. Le référé indique clairement que les douze contrats litigieux avaient pour objet de pallier l’éventuel conflit social et d’anticiper un mouvement de grève ». Toutefois, le juge a déclaré recevable la démarche des syndicats et débouté le CE sur plusieurs actions. « Je suis déçu de découvrir que le CE n’a pas vocation à défendre les intérêts des salariés », note Franck Rebuzzi, secrétaire du CE.


Joint par téléphone, l’avocat d’ASF Me Pascal Anquez a affirmé qu’« aucune décision de donner suite à la procédure n’était prise pour l’instant. L’ordonnance est à l’étude. Nous nous donnons le temps de la réflexion ».

sources: Le Populaire, 11 septembre 2015
 

mercredi 19 août 2015

Les aires d'autoroutes, un business juteux en pleine mutation



Jadis limitées aux seules stations-service, les aires d'autoroutes sont en pleine transformation, multipliant services et commerces pour faire en sorte que le client reste (et consomme) plus longtemps.

"Il y a 20 ans, les aires servaient essentiellement pour le ravitaillement du carburant car un plein faisait 400 kilomètres. Aujourd'hui, avec un plein on tient 1.000 kilomètres donc il faut reconfigurer les aires pour que le client s'arrête", argumente Hervé Adam, directeur du pôle commerce chez Vinci Autoroutes.

Pour Vinci, qui exploite la plupart des autoroutes du Sud et de l'Ouest de la France, c'est d'abord une question de sécurité routière. Il y a aussi, bien évidemment, une arrière-pensée économique puisque ses 172 aires rapportent tout de même 500 millions d'euros de chiffre d'affaires (hors carburant) et vendent un milliard de litres d'essence par an.

Mais avec des restaurants ringards et des stations-service peu accueillantes, les aires avaient grandement besoin d'un coup de jeune, quand les grandes gares ou les aéroports sont déjà devenus de vrais temples de la consommation.

Depuis cinq ans, Vinci les renouvelle donc une à une avec deux objectifs: réunir en un seul lieu les parties essence et restauration, et développer les enseignes connues pour que le client se sente comme en ville, explique Hervé Adam.

lire la suite : ici

sources : lepoint.fr